lundi 21 février 2011

Un ver ça va, beaucoup ça fait des dégâts

Brasier Tierce Roncines

Nous sommes de retour au camp de Gorgrim. Nous lui remettons ses enfants en échange du châle de la naïade.

Nous profitons de l'occasion pour lui demander des informations sur « la cité de la Dame ». Il ne sait pas grand chose à ce sujet. Il a entendu parler d'une cité arboricole à une douzaine de jours d'ici, mais n'a rien tiré de plus dans les histoires que se racontent les chasseurs.

Lune Tierce Roncines

Nous retournons auprès de la rivière, non loin du lac, pour rendre son châle à Roncines. Elle est contente de retrouver son objet, mais même pas au point de faire un simple bisou à Güntharion. Pauvre lapin. Sérène nous offre une petite perle de nacre, qui nous permettra, une fois utilisée, de respirer sous l'eau.

Très vite, nous nous remettons en route vers le nord-ouest.

Halte Tierce Roncines

Aujourd'hui, des changements majeurs s'opèrent dans le territoire à travers lequel nous évoluons. Les créatures naturelles sont de moins en moins présentes et laissent place à une faune marquée par la magie et l'Ostréther. Le plantes n'échappent pas à ces changements inhabituels. Nous croisons même quelques aberrations mineures, alors que celles-ci ne sont censées se trouver que dans l'Ostréther profond. Le coin a un aspect féérique. Mauvais signe.

Foirail Quarte Roncines

En début d'après-midi nous tombons sur les traces d'une communauté : des champs partiellement masqués par une végétation abondante et rebelle.

Pourtant, alors que nous observons attentivement les environs, il semble que le coin soit abandonné. Je tente de retrouver quelques traces. Je me dirige peu à peu vers ce qui semble être le centre de cette communauté humaine mais étrange. Elle présente en effet quelques aspects du Sauvage de la Féérie.

Un silence pesant règne sur le village arboricole, dont nous apercevons les premières maisons perchées en haut des arbres. Mais certains arbres, de tailles pourtant imposantes, ont été déracinés, avec leurs habitations. Des sortes de grosses taupinières sont présentes ici et là.

Tout d'un coup, des tremblements lourds secouent le sol et deux énormes vers surgissent devant nous. Des saloperies d'aberrations. Des vers, de tailles plus petites, sortent de terre peu après. Un violent combat s'engage contre ces horreurs. Les vers finissent par fuir après la mort de trois d'entre eux, dont les deux spécimens gigantesques.

Personne ne réagit à cette attaque. Les habitants du coin ont-ils été tous tués ? Probablement. Nous quittons donc les lieux. Mais quelque chose me turlupine. Après quelques dizaines de mètres, je fais demi-tour. Je commence à grimper à un immense arbre, mon instinct me soufflant une étrange impression à son sujet. Je finis par arriver dans une habitation, tout en haut de celui-ci.

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