vendredi 5 mars 2010

Négociations avec les Höllengeist


6 Primus 1667

Je me réveille en fin de matinée. Il faut dire que la nuit a été agitée. Je prends un bon bain. Kirsten me dit qu’elle souhaite en savoir plus à propos des goules, et surtout de leur comportement inhabituel. Après la toilette matinale, nous descendons manger avec les autres. J’interroge un peu Siebel sur les gens qui luttent contre les goules en ville. Il me dit qu’un certain Ercanbald Filcke, sergent de la Garde de Fer, serait à interroger sur le sujet.

Les gamins des rues semblent de farouches adversaires des goules, mais ils ont déjà à se battre contre les mercenaires du Zobel, la colline sur laquelle se trouve de belles maisons et un mur en construction. C’est le frère de Gisella, Klaus, résidant au Zobel, qui aurait engagé des mercenaires. Il traite d’ailleurs sa sœur d’incompétente. Selon Siebel, Klaus se verrait bien eisenfürst à la place de sa sœur et il se construit une sorte de place-forte au sein même de la ville.

Après des discussions enrichissantes, nous partons voir les Höllengeist. L’idée est de récupérer des informations sur les goules et de sympathiser éventuellement avec eux. Notre venue est très surveillée. Je repère la tour brûlée contre les anciens remparts de la cité, l’endroit qui sert de QG à ce gang. Nous sommes arrêtées à l’entrée du fortin. Un petit rouquin vient à nous et nous entraîne pour prendre un bol de soupe dans une marmite qui chauffe doucement.

Après quelques moments de silence, le rouquin nous informe que Farlco est mal, mais que Daguarada est dans un état encore pire. Elle semble atteinte d’une sorte de nécrose bizarre. Je propose au rouquin de les aider en échange de quelques informations sur les goules. Ces gamins pourraient s’avérer être des espions très efficaces pour grappiller des infos.

En attendant d’en savoir un peu plus je visite un peu les lieux. J’essaie de me montrer sympathique et de me montrer abordable. C’est ainsi qu’une petite gamine curieuse se met à me poser quelques questions. Hartman Goettinger, le rouquin, revient me voir au bout d’une heure d’absence. Il m’informe qu’il va faire conduire Daguarada au lazaret. Il a espoir de trouver quelqu’un qui peut la soigner.

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