lundi 4 mai 2009

A l'Assaut des Forces de la Capuche

Foirail de la semaine prime de Tonnegrise

Nous envoyons un messager animal à Nightshade pour le prévenir de la situation de la ville.

Nous mettons au point notre plan d'affaiblir les forces de la Capuche.

Petite nuit en pleine nature.

Jourdieu de la semaine prime de Tonnegrise

Pendant la nuit, Güntharion a vu un Aurumvorax. Nous avons de la chance qu'il soit certainement rassasié. Nous serons le lendemain sur le lieu de notre premier objectif. Encore une nuit dehors en perspective. Nous montons un premier camps avec d'aller plus loin à cause de la présence d'araignées filesang.

Feulard de la semaine prime de Tonnegrise

Nous arrivons à une longue chaussée de bois qui parcourt une zone marécageuse. C'est le fond d'un col, entre deux formations abruptes. Il y a deux bâtiments en ruines et je suspecte, comme certains de mes compagnons, qu'il y a des gens (ou des créatures) au niveau de ces bâtiments. Enfin il y a eu une occupation récente de ces lieux. Güntharion s'avance pour découvrir un peu le terrain. Une vieille femme s'avance alors vers nous. Mais je vois un rictus sur sa lèvre inférieure qui traduit quelque chose de mauvais en elle. Près de nous elle change d'apparence pour devenir une créature écailleuse à la peau verte, aux cheveux couleur algue et aux longues griffes au bout des doigts. Une saloperie de Guenaude. Très vite un énorme gnoll vient rejoindre le combat en hurlant. Deux autres gnolls avec des arcs sortent d'une baraque en ruine et visent mon loup. Le combat se révèle très difficile. Je tombe à terre...

Le froid m'envahit soudain. La vie s'envole. Je sens le contact doux d'une main qui me guide dans ce qui me semble être une verte prairie garnie de fleurs. Un champs de coquelicots... ma fleur préférée. Une jeune femme dans une tenue verte est devant moi. Sa longue chevelure blonde flotte dans le vent. Son regard vert m'apaise et mon coeur s'attriste et se réjouit à la fois. Mailikki... Ma déesse... La douceur m'envahit. Le soleil inonde mon visage et sa chaleur apaise soudain le froid qui me gagnait... puis tout à coup tout devient gris, la froideur revient et le monde verdoyant se tranforme en paysage morne et glacé. Plus aucune douleur. Plus rien.

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